Nom : /
Prénom : Suigetsu
Age : 17
Sexe : M
Village :
Description physique : (5 lignes minimum)
Suigetsu peut prendre une forme liquide et retourner à sa forme initiale à volonté. Cette capacité lui permet également de changer la forme de son corps en cas de besoin. Elle met également son adversaire en mauvaise posture : lorsque il prend sa forme liquide, le coup porté le traverse et l'ennemi perd l'équilibre . Il est extrêmement puissant ou au moins très confiant de ses capacités (Jutsu et techniques spéciales). Il porte également des bouteilles d'eau parmi son équipement de ninja. Suigetsu consomme fréquemment de l'eau car il a besoin d'une hydratation régulière afin de maintenir sa forme aqueuse.
Description mental : (3 lignes minimum)
Suigetsu est un personnage arrogant et provocateur (comme Tobi) qui s'énerve facilement et il est puéril. Kisame dit qu'il était un bon gamin tout le temps en train de sourire et qu'il tranchait toujours les membres de ses ennemis avant de les décapiter. C'était un enfant prodige dans l'art du meurtre et était surnommé dans son ancien village le "second démon Zabuza". Suigetsu avait aussi un frère aîné, Mangetsu Hôzuki, qui était cependant moins cruel que lui, selon les dires de Kisame.
Histoire : (10 lignes minimum)
Suigetsu est un maitre dans l'art de l'assassinat. Sa plus grande mission était le meurtre dans enfant dont les pouvoir héréditaires pourraient nuire à son maitre Zabuza. ( Voir test rp ). grâce à l'accomplissement de cette mission il gagna beaucoup d'argent qui lui permit de financer ses recherches. Dès sont plus jeune âge il a été entrainé par le célèbre Momochi Zabuza. Son rêve et de réunir les 7 épées légendaire de Kiri no Kuni. Depuis ses 5 ans il enchaine mission sur mission sous les ordres de son sensei. Un jour, celui ci lui dit de grandir seul et parti laissant Suigetsu dans le doute et l'ignorance. Depuis, Suigetsu arpente les chemins qui se dressent devant lui sans jamais regarder derrière lui. Il sera prêt à tout pour accomplir son rêve et pour cela il devra même tuer sans maître, Zabuza, car lui aussi détient une des épées légendaires.
[b][i]Test RP : (plus de ligne = meilleur grade [minimum 50 pour akatsuki])
Il y a quelques années, des assassins s'introduisaient à minuit dans les jardins du palais ; tout à coup, quatre ombres fugaces se détachaient contre le mur d'enceinte. Le mur était haut, l'atterrissage rude ; pourtant, ils ne faisaient pas plus de bruit, en touchant le sol, que quelques gouttes de pluie. Ils restaient accroupis trois secondes, tapis immobiles, humant l'air. Puis il repartaient furtivement à travers les jardins plongés dans l'ombre, entre tamaris et dattiers, vers l'aile ou reposait l'enfant. Un guépard enchaîné remuait dans son sommeil ; au loin dans le désert, on entendait hurler les chacals. Ils avançaient sur la pointe des pieds, sans laisser de trace dans les hautes herbes humides. Leur robe, en voletant dans leur dos, fragmentaient leur ombre, dont il ne restaient que d'impalpables volutes. Que voyait-on ? Rien que des feuillages agités par la brise. Qu'entendait-on ? Rien que le vent soupirant dans les palmes. L'absence, le silence. Un soldat qui montait la garde auprès du bassin sacré ne percevait pas le moindre signe de leur passage alors qu'ils se faufilaient tout près de lui-à peine la largeur d'un crayon. La chaleur de la journée s'était évaporée ; l'air était frais. Une lune ronde et froide brillait au-dessus du palais en nappant d'argent toits et cours intérieures. Derrière le mur d'eneinte, la vaste cité murmurait dans la nuit : des roues sillonnaient routes et terre battue, des rires lointains résonnaient dans le quartier des plaisirs, le long des quais, la mer léchait les rochers du rivage, poussée par la marée. Des lampes brillaient aux fenêtres, des braises rougoeaient dans leurs foyers sur les toits-terrasses et, tout en haut de sa tour, derrière les portes du port, le grand feu et la garde irradiait son message en direction du large ; son reflet dansait comme autant de feux follets sur les vaguelettes. A leur poste, les gardes jouaient à des jeux de hasard. Entre les piliers des salles, les serviteurs dormaient sur des nattes. Les portes du palais étaient barrées par un triple verrou dont chaque pêne était plus épais qu'un homme. Aucun ne regardait vers la partie ouest des jardins, où la mort annonçait sa visite, sournoise tel le scorpion, sur quatre paires de pieds qui se déplaçaient sans bruit. La fenêtre dans appartements de l'enfant est situé au premier étage du palais. Quatre ombres noires se tassaient au pied du mur. Puis, sur un signe du chef, l'une après l'autre elles se plaquaient contre la pierre et entreprenaient son ascension en s'aidant du bout de leur doigts et des ongles de leur gros orteils. Grâce a cette méthode, par le passé, ils ont déjà escaladé, des montagnes de Yuki à Kiri no Kuni, des colonnes en marbres et des cascades de glaces solide ; aussi ces pierres de taille ne leur posaient-elles pas de problème. Ils s'y coulaient telles des chauves-souris sur la paroi de leur caverne. Le clair de lune se reflétait par intermittence sur un objet brillant qu'ils serraient entre leurs dents. Le premier assassin atteignait le rebord de la fenêtre, s'y hissait d'un bond digne d'un tigre et risquait un regard dans la chambre. Le clair de lune baigne la pièce. La paillasse était éclairée comme en plein jour. Le jeune garçon dort, inerte ; on croirait qu'il était déjà mort. Sa chevelure sombre se déployait sur les coussins et sa gorge d'agneau luit sur fond de soie. L'assassin sortis le poignard avec une tranquille assurance pour en estimer les dimensions et y repérer d'éventuels pièges. Elle était vaste, pleine de zones d'ombre, sans ostentation. Le plafond était soutenu par trois piliers. Au fond, une porte en teck, fermée de l'intérieur. Contre un mur, un coffre ouvert débordant de vêtements. L'assassin aperçu aussi un trône où l'on a négligemment jeté une cape, des sandales qui traînaient par terre et un bassin en onyx rempli d'eau. Un imperceptible parfum flottait dans l'air. L'assassin, pour qui ces choses-là prélevaient de la décadence et de la corruption, fronce le nez de dégoût. Il plissait les yeux, puis saisit le poignard par la pointe et le lança en faisant un bref geste du poignet. Avec un son très doux il va s'enfoncer dans la gorge de l'enfant.
Mission accomplie.